Il est courant qu’une organisation, lorsqu’elle atteint une certaine taille, fasse face à quelques problèmes organisationnels. Plus le nombre de personnes impliqué est élevé, plus la communication interpersonnelle et l’organisation du travail en général doivent être structurées pour éviter les doublons, les redites, voire pire, les contradictions! Qui, ayant travaillé sur de gros projets, n’a pas été confronté aux problématiques du faire et faire son contraire? L’un construit un mur, le suivant le détruit! Au-delà d’apporter un certain nombre de frustrations et de brûler les énergies positives, ce type de problématique bien qu’inéluctable dans les projets novateurs, peut être limité si l’entreprise dispose initialement d’une consolidation de l’information correcte. Il faut comprendre ici que l’entreprise doit avoir investi dans la fiabilité de son information disponible et accessible à tous : listings téléphoniques tenus à jour avec une responsabilité collective qui doit d’abord et avant tout faire partie de la culture d’entreprise, procédures revues régulièrement, documentation commune actualisée etc. Car sans cet investissement de temps, on fait face à toutes les problématiques rencontrées dans les organisations désorganisées : flemmingite aiguë de courir après l’information, information détenue par une minorité et de façon informelle (minorité qui devient donc incontournable au bon fonctionnement de l’entreprise), temps perdu à la recherche de l’information, travail réalisé en doublon et/ou à répétition. Ces enjeux de communication mèneront indéniablement à une forme de résignation, voire une démobilisation ou une démission du personnel ! Et si cette désorganisation structurelle s’ajoute à une désorganisation ponctuelle/conjoncturelle (projet), le chaos n’est pas loin… A l’heure où l’accès à l’information n’a jamais été aussi aisé et foisonnant, investir sur la consolidation de l’information au sein de son organisation n’est pas une option mais bien une question de productivité, d’efficacité voire de survie!
« Le plus difficile, c’est de décider d’agir. Le reste ne tient qu’à la persévérance. » Amelia Earhart*
N’oubliez pas, c’est le détail qui compte.
Transformer ses émotions, en quelques secondes !
On parle de plus en plus de neurosciences*, sujet fort intéressant notamment pour comprendre les rouages des relations entre les personnes.
Saviez-vous que l’état d’esprit que nous avons est le simple résultat de nos pensées et que, bonne nouvelle, nous avons le pouvoir de changer d’état d’esprit instantanément ?
Vous en doutez ?
Je vous invite à visionner la vidéo suivante réalisée dans le cadre d’une conférence donnée par Anthony Robbins :
* Les neurosciences sont les études scientifiques du système nerveux, tant du point de vue de sa structure que de son fonctionnement, depuis l’échelle moléculaire jusqu’au niveau des organes (…) – source Wikipédia
Enfant, je me souviens de ma mère qui me disait : « il faut que tu fasses autant d’études que ton frère ». Pour mon frère, de 6 ans mon cadet, il était évident qu’il ferait des études. En tant que fille, grandissant dans la campagne française, ce point n’était a priori pas si évident…
Jeune, je ne comprenais pas cette obsession de ma mère car, très naturellement, je me voyais l’équivalent de tout individu de sexe opposé. Ma mère était une femme moderne : 2 enfants, travaillant, plutôt indépendante et ayant une part équivalente à mon père sur la responsabilité du foyer. Je ne voyais donc pas en quoi elle pouvait penser qu’être une femme était un challenge additionnel. Le bon déroulement du foyer (logistique, éducation des enfants) revenait toutefois quasi entièrement à ma mère. On était ici sur une répartition des tâches assez traditionnelle pour l’époque et j’avoue que pendant plus d’une décennie, je ne voyais pas vraiment le problème, c’était dans tous les foyers quasiment pareil. Dans d’encore trop rares foyers, l’homme sortait les poubelles et faisait la vaisselle (c’était de facto un homme un peu bizarre in fine…). Heureusement, aujourd’hui, la société a évolué en faveur des femmes.
Travaillant dans le milieu artistique, N. apprend souvent au dernier moment quand il travaille le week-end ou le soir. Sur les horaires prévues longtemps en avance, pas de souci, le cocon familial s’organise adéquatement sur le plan logistique. En ce qui concernent les imprévus, deux cas fréquents coexistent :